Nouveauté
LES MOTS QUI BLESSENT
LA PAROLE QUI GUERIT

"Les mots ont un pouvoir redoutable. Il y a des mots qui font exister, d’autres,au contraire, qui tuent. Comment se libérer des mots toxiques qui ont empoisonné nos élans de vie? Y aurait-il une Parole assez forte venue d’ailleurs, capable de les apaiser et de les neutraliser?": C'est à ces questions que l’auteur puise dans le creuset de la sagesse humaine autant qu’à celle de Dieu et de la spiritualité, en général, pour y répondre.
On ne sait jamais quel cheminement va prendre une parole issue d'un cœur humain. Les mots ont du pouvoir. Ils impactent tout notre être, corps et esprit. Certains mots font exister, d’autres, au contraire, font mal. Les êtres humains se sont construit, de tous temps, au travers du «verbe», s’identifiant aux mots qu’ils entendent.
Ainsi, chaque «parole nous marque à jamais", explique l'auteur. Ils agissent aussi bien "comme des vitamines de croissance", que "comme des parasites destructeurs, creusant des maux".
Alors comment se libérer des mots toxiques qui restent imprimés dans notre subconscient et reviennent en permanence dans nos pensées, et ne cessent ensuite "d'empoisonner nos élans de vie" ? Serait-il possible qu'une Parole, assez forte et venue d’ailleurs, puisse être susceptible de les apaiser et de les neutraliser ?
C'est à ces questions-là que l'auteur s'est attelé pour y répondre. Disons-le franchement, ce livre est inspiré par des paroles de sagesse et de spiritualité chrétienne, car l'auteur pense au plus profond de lui-même que seul dans le cœur ont peut trouver la Parole divine qui désamorce les mots négatifs et soigne les maux afin de retrouver la joie de toucher à l'essentiel de ce que nous somme intimement.
Dans les récits bibliques, l'auteur a puisé des mots qui sauvent des «maux», de ces maux qui faussent nos relations, et aussi de la Parole divine, laquelle a le pouvoir de guérison. Infirmier en psychiatrie, puis prêtre, Joël Pralong est devenu responsable de la formation des futurs prêtres à Fribourg (Suisse). Il s'est toujours passionné par les "voies spirituelles" qui permettent d'aider les êtres humains à grandir, et traverser ainsi leurs failles, leurs manques ou leurs fragilités. Ce livre est de la même veine que le précédent, intitulé "Quand nos blessures diffusent la lumière".
Colette de Lucia
On ne sait jamais quel cheminement va prendre une parole issue d'un cœur humain. Les mots ont du pouvoir. Ils impactent tout notre être, corps et esprit. Certains mots font exister, d’autres, au contraire, font mal. Les êtres humains se sont construit, de tous temps, au travers du «verbe», s’identifiant aux mots qu’ils entendent.
Ainsi, chaque «parole nous marque à jamais", explique l'auteur. Ils agissent aussi bien "comme des vitamines de croissance", que "comme des parasites destructeurs, creusant des maux".
Alors comment se libérer des mots toxiques qui restent imprimés dans notre subconscient et reviennent en permanence dans nos pensées, et ne cessent ensuite "d'empoisonner nos élans de vie" ? Serait-il possible qu'une Parole, assez forte et venue d’ailleurs, puisse être susceptible de les apaiser et de les neutraliser ?
C'est à ces questions-là que l'auteur s'est attelé pour y répondre. Disons-le franchement, ce livre est inspiré par des paroles de sagesse et de spiritualité chrétienne, car l'auteur pense au plus profond de lui-même que seul dans le cœur ont peut trouver la Parole divine qui désamorce les mots négatifs et soigne les maux afin de retrouver la joie de toucher à l'essentiel de ce que nous somme intimement.
Dans les récits bibliques, l'auteur a puisé des mots qui sauvent des «maux», de ces maux qui faussent nos relations, et aussi de la Parole divine, laquelle a le pouvoir de guérison. Infirmier en psychiatrie, puis prêtre, Joël Pralong est devenu responsable de la formation des futurs prêtres à Fribourg (Suisse). Il s'est toujours passionné par les "voies spirituelles" qui permettent d'aider les êtres humains à grandir, et traverser ainsi leurs failles, leurs manques ou leurs fragilités. Ce livre est de la même veine que le précédent, intitulé "Quand nos blessures diffusent la lumière".
Colette de Lucia