LE BAL DE LA ROSE AU MOIS DE MAI En quête des matières premières naturelles chères à la Maison Guerlain, sans relâche le parfumeur Thierry Wasser explore le monde au fil des mois. Au beau mois de mai, échappées belles autour de roses peu communes. La rose inspire les parfumeurs Guerlain depuis des générations. Ils lui ont toujours été fidèles et lui ont fait traverser le temps en beauté. La rose est leur muse : tantôt fruitée, tantôt miellée, tantôt aérienne, tantôt charnue, toujours féminine et sensuelle. Il en existe plus de 3 000 variétés dans le monde et seules deux sont utilisées en parfumerie, la rose Centifolia et la rose Damascena. Seules quelques rares Maisons de parfum utilisent encore la rose Centifolia française. Guerlain la défend coûte que coûte tant sa richesse est incomparable. Elle sublime Shalimar, L’Heure Bleue, Mitsouko, elle est présente en majesté dans Nahéma. Pour la rose Damascena, Thierry Wasser s’envole chaque année en Bulgarie et sélectionne la plus belle des qualités pour La Petite Robe Noire. Comme pour les vins, le terroir est essentiel. Chaque parcelle apporte sa facette et tout l’art du Parfumeur consiste à les assembler afin d’obtenir le sceau si singulier de Guerlain : notre communelle de roses.
« Qui n’a jamais rêvé d’arrêter le temps ? La parfumerie permet ce tour de passe-passe et immortalise cette rose qui, sans cela, aurait fané en quelques jours. Elle transforme les fleurs fraîches en élixir et son odeur précieuse nous accompagne ainsi des mois et des mois durant ». Thierry Wasser Les commentaires sont fermés.
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