SAGESSE DE CONFUCIUS
Valeurs, propositions et aphorismes pour
GRANDIR
Partez à la (re)découverte de Confucius (-551/-479) : cette figure tutélaire autant que prégnante de la «conscience» chinoise et des enseignements, de son message.

Sans conteste le plus notoire des Chinois, « découvert » en Europe au 18e siècle via le prisme des missions catholiques dans l’Empire du Milieu, Confucius demeure largement méconnu. C’est qu’en dépit d’une surabondance de sources -historiques et légendaires voire hagiographiques-, le personnage en lui-même s’avère peu documenté. Remédiant à cette lacune, Cyrille JAVARY nous entraîne dans l’ancienne Chine, à la rencontre du Maître dont il s’attache à restituer l’itinéraire personnel, « privé », trop souvent négligé, au plus près d’une existence, d’un vécu, qui dans leur concrétude font symboliquement sens dans l’esprit des Chinois, notamment pour leur dimension éducative.
Suivant l’évolution chronologique, l’auteur retrace à la suite l’élaboration d’une pensée confucéenne faisant office de colonne vertébrale idéologique des institutions étatiques pendant plus de deux millénaires, puis ses évolutions majeures -dont le néoconfucianisme, à partir du 13ème siècle, facteur de « fossilisation » à long terme-, jusqu’aux manifestations et motifs de la détestation dont elle a fait l’objet au cours du 20ème siècle, à quoi succède le « come-back » des dernières décennies.
Suivant l’évolution chronologique, l’auteur retrace à la suite l’élaboration d’une pensée confucéenne faisant office de colonne vertébrale idéologique des institutions étatiques pendant plus de deux millénaires, puis ses évolutions majeures -dont le néoconfucianisme, à partir du 13ème siècle, facteur de « fossilisation » à long terme-, jusqu’aux manifestations et motifs de la détestation dont elle a fait l’objet au cours du 20ème siècle, à quoi succède le « come-back » des dernières décennies.
Voie idoine vers la familiarisation à la mentalité chinoise, le confucianisme -qui n’a, dans la Chine contemporaine, guère quitté le cœur de l’actualité- « balise un cheminement », prônant au premier chef une manière d’être intelligente et bienveillante, vers l’amélioration des comportements et un moindre degré d’agressivité dans les relations sociales.
Quelles leçons de « sagesse » en retirer, dans le monde d’aujourd’hui, pour l’exercice des rapports interpersonnels ? du « gouvernement » de soi-même ? de la gouvernance des affaires publiques ?
Moralité, simplicité, amitié, justice, exemplarité, enrichissement, rituel, mort, « devoir d’humanité »… Cyrille JAVARY passe pour finir en revue les divers aspects du corpus, démontrant au passage de quelles manières le confucianisme est en mesure de procurer aux individus pour eux-mêmes comme aux sociétés organisées qu’ils forment de pertinents repères à quoi se référer, de bienfaisantes solutions auxquelles recourir.
Un viatique -intemporel- pour une humanité entre errements et perdition, en perpétuelle invention d’elle-même.
Un cahier de 16 cartes illustrées détachables en fin d’ouvrage est consacré aux principaux disciples de Confucius.
Quelles leçons de « sagesse » en retirer, dans le monde d’aujourd’hui, pour l’exercice des rapports interpersonnels ? du « gouvernement » de soi-même ? de la gouvernance des affaires publiques ?
Moralité, simplicité, amitié, justice, exemplarité, enrichissement, rituel, mort, « devoir d’humanité »… Cyrille JAVARY passe pour finir en revue les divers aspects du corpus, démontrant au passage de quelles manières le confucianisme est en mesure de procurer aux individus pour eux-mêmes comme aux sociétés organisées qu’ils forment de pertinents repères à quoi se référer, de bienfaisantes solutions auxquelles recourir.
Un viatique -intemporel- pour une humanité entre errements et perdition, en perpétuelle invention d’elle-même.
Un cahier de 16 cartes illustrées détachables en fin d’ouvrage est consacré aux principaux disciples de Confucius.